Connectivite atteignant les deux mains s’exprimant par une physiologie anarchique des cellules capillaires.Cette pathologie s’exprime sous forme de crises.
Mains rouges et brûlantes durant qqls minutes
Les premières crises sont déclenchées par un phénomène extérieur (froid, émotion, lavage des mains…) puis au fil des crises, nous ne trouverons plus de phénomène déclencheur.
Trois phases évoluant de quelques minutes à quelques heures :
Vasoconstriction des vaisseaux diminuant l’apport de sang vers les mains et les doigts. Les mains deviennent blanches, froides, insensibles et maigres.
Vasodilatation réflex créant un retour, brusque, de sang aux capillaires en souffrance ce qui créé un engorgement capillaire veineux (stase d’un sang chargé en déchets). Les mains sont alors bleues, toujours froides, vaguement douloureuses et gonflées.
Retour vasculaire (la physiologie reprend le dessus), il y a évacuation du sang chargé en déchets. Les mains deviennent rouges, chaudes, gonflées, avec douleur et brulure intense.
Chaque crise dégrade un peu plus les tissus vasculaire, nerveux, conjonctif. La douleur devient sourde, permanente, paroxistique.
Parfois la phase cyanosée dure plus longtemps, elle peut entrainer une gangrène par nécrose des tissus.
L’étiopathe tentera de relancer la vascularisation de la main et vérifiera son innervation. Il permettra ainsi une récupération partielle en travaillant localement et à distance, par la mobilisation des vertèbres D2-D4 (reliées aux gros troncs artériels).
La médecine classique quant à elle privilégiera le traitement des symptômes par Antalgiques et anti-inflammatoires. Elle préconisera également une Sympathectomie (chirurgie visant à interrompre les influx nerveux vaso-constricteurs)